Une ombre festoyante, une ablution paloise,
je te cherche au creux de mes ténèbres,
le vent m'apporte tes soupirs langoureux.
De cette tour, le sol m'appelle autant que ton sang dans ma bouche, un abreuvoir mystique; où l'eau de ma répugnance s'enivre de ce corps pourrissant, où la gangrène de ton nom sublime chaque morceau de ma vie qui déjà choit dans une apathie mortifère
et le sang éclot sur le parvis de ton envie,
toi l'être Eternel qui soudain disparaît
en un ruisseau d'extase.
"leau senivre" "la gangrenne sublime" tu aimes jouer avec les contrastes n'estce pas? on pourrait en trouver d'autre encore, tant dautre!! qui est ce toi?