Mardi 29 janvier 2008 à 20:31

... Le mien a fuit dans le fracas d'un Univers qui s'évapore.

Et les arbres bien droits comme pour griffer les firmaments,
Et les étoiles plus bas comme pour me bruler d'incertitudes,
Et le ciel s'écroule sur mes souvenirs.

Alors je verse une larme à la taille de nos regrets...


Et dieu qu'ils sont grands!!
et je savais, 
tu crois?

Dimanche 13 janvier 2008 à 2:47


J'étouffe de-non dits, je croule sous les silences. Oui, je deviens une croulante créature craquelée. Morcelée.
Abîmée.
Parce que mes cris se perdent dans le néant de la distance.
Brisée.
Morte, comme une peau de chagrin pantelante, accrochée au mur des souvenirs.
Regrets?
Non, juste une envie de retrouver les moments perdus. M'y enfouir jusqu'à ne plus pouvoir respirer.
Mais là, j'étouffe de non-dits et je croule sous les silences.



Lis dans mes entrailles et vois comme le soleil peut faire de l'ombre.
And there's Mould on the Walls of Communication. Here we are. Collapse.
But Don't Worry, I Do Forgive You Now.
I do,
I do, I do...



Et les blessures du passé, comme des briques rouges sur le chemin.
J'avais envie d'y croire à nouveau.


Avez-vous connu, avez-vous connu les coups dans la gueule et les insultes?
Avez-vous connu les humiliations publiques?!
Avez-vous connu, avez-vous connu les viols et les stygmates incohérents?

As-tu seulement goûté mes cicatrices purulentes à force de béanse?

Comment alors pouvez-vous juger?
Vous, qui vous proclamez juges, accusateurs, victimes et témoins?
Comment alors pouvez-vous juger?


Plus jamais à nouveau crier à l'aide.
Et les larmes, comme des coupures sur mes joues fraîches.

 



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